Ydit ? Fini, ou : on n’ira pas jusqu’au 100…Déjà dit ? …Oui, Le redit d’Ydit…Mais ce dernier – justement- n’aurait pas dit son dernier mot ? A voir vers mi novembre?

Déjà dit ? Oui, Le redit d’Ydit…mais ce dernier – justement- n’a pas dit son dernier mot ? A voir vers mi novembre?

Gloss-Aire.

Et que le vie soit, au matin, de nouveau, l’impression légère d’une étoffe oubliée sur la terrasse pendant la nuit pluvieuse; puis, au crépuscule, cette danse de jeunesse sur les parvis, dans l’univers plein d’une Très Grande Bibliothèque, jamais vue à Babel.


 

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YDIT-suit : Le Jardin de Giorgio Bassani, épisode 99/99, Epilogue 4 / « Au Retour »- C’est au sujet du contrat » et « Glossaire ». FIN DE LA FIN …

       EN CETTE DATE ANNIVERSAIRE, LA FIN DU ROMAN...

Paris dernier jour d’août.

Paris 2019, retour de FERRARE, escale à Bologne : Doliprane et Cafés : les tours sont joués, les dés sont jetés, la journée de retour à Paris sera banale, le rêve achevé.

Vous vous souvenez? Imaginons que je prenne le temps, long, trop long, de tenter une transcription – une réinvention pure et simple de ce rêve impur et complexe, le rêve d’Alice, déjà vieilli, après tout banale actualisation coquine du bon vieux Révérend Dogson au pays des merveilles ( je préfère ne pas entendre l’éclat de rire amical –mais désespéré, de Mark le compagnon des aventures anciennes, recevant le billet du matin, matinalement dressé…).

Retour de FERRARE, vous vous souvenez encore du voyage à FERRARE ? De Silva la bonne hôtesse? De Néro le guide menteur? Et de tous les autres, Stéfania, Erika, Bassani ? Giorgio Bassani, et même les impertinents Julio et Julia, les chats sur la table du jardin rose, surtout la recherche tâtonnante de la maison si secrète, et la libraire qui détestait Bassani, la maison si cachée, pourtant si proche, déjà si familière ? Rue Saracéno, via BelFiori, ça vous rappelle des lectures et des images ? Et du séjour déguisé en diverticule narratif ensoleillé, à Tinos, le héros brun nu sur les marches?

Paris, dernier jour d’août, il y a presque deux ans, si court, si loin, si haché par les désastres du monde et le port du masque oblitérant le sourire? Et à présent, aujourd’hui, presque les jours de la fin août, le 22 de cet août là, les aoûtats, sur le tas.

A l’époque du retour de Ferrare- deux ans !- très rares sont les vieux de mon âge,dans la bibliothèque d’arrondissement, et ce sont surtout des vieilles, dont une probable nonagénaire qui manipule assez convulsivement écran et clavier, sans doute enfermée dans son urgence personnelle, la dernière, à cet age.


Pour composer l’étonnant puzzle de mots nommé rapports, que sans doute personne n’attend plus, je relis, alors, dans mon épais classeur titré « G.B./F. », des notes du passage à Ferrare, et les courriers que j’ai adressés aux principaux interlocuteurs capables d’ouvrir toutes ces portes qu’on tient fermées, au sujet du jardin de Giorgio Bassani.

Plus tard, seulement, lorsque le roman aurait été refusé par les éditeurs, puis remanié en web-feuilleton, j’avais écrit à Silvia ce que vous avez lu déjà dans deux chapitres précédents, mais c’est déjà un peu loin, et il y a la naturelle torpeur ouatée d’août : plus tard, Silvia, l’étirement de l’étrange lien, cette poursuite de projecteur sur la scène vide, tout cela devait trouver sa place avant le retour à Paris en fin de voyage, du second voyage à FERRARE, brouillant ainsi, une fois de plus, les temps, les lieux, les mémoires- et vos lectures. Mais pas les images, lourdes, insérées dans l’espace mémoire profonde, le petit renflement du crâne derrière la patte des lunettes noires.

Ma collègue Cécile, vous la connaissez bien à présent, enfin si vous vous en souvenez ? Mais si, la cadette dans le quatuor des Anciens de l’agence, Cécile à qui je n’envoie pas la copie de mon courrier tapé en vitesse sur « Pages » de l’IPad, se permettrait peut-être, pour cette fois, une moue de remontrance affectueuse ?

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LETTRE à la MER, 1.

Monsieur le Président de la Communauté juive, Synagogue, 95 via Guiseppe Mazzini, 44110, FERRARE,

A la suite de visites à Ferrare, j’envisage un travail personnel, érudit mais dénué d’ambitions de carrière ( je suis retraité), sur la place de la communauté juive dans la ville, en particulier celle du célèbre écrivain Giorgio Bassani .

Epris de votre ville, très sensibilisé à la présence juive si nette à Ferrare, je souhaiterais approfondir des points d’histoire, l’arrivée au XVe siècle, l’étonnante confiance des juifs à l’époque de MUSSOLINI, les persécutions après les lois raciales de 1938, la situation après-guerre, par exemple.
J’aimerais aussi, beaucoup, pouvoir visiter la synagogue. Sans doute vais-je de nouveau séjourner à Ferrare d’ici peu. Je sollicite de votre grande bienveillance une autorisation de visite, seul, ou en compagnie d’un gardien, et suis prêt à signer toutes les décharges utiles, compte-tenu de l’état des lieux consécutif au tremblement de terre. En ce sens, je sollicite de votre attention un ou des contacts avec des représentants de la communauté, ce qui me permettra … patati patata
Veuillez croire…………. 

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Et cette autre : transcrite depuis l’enregistreur du Iphone.
Inutile d’écrire que Sergui, que vous avez apprécié, s’il en avait connaissance, m’enverrait un texto sardonique.

LETTRE à la MER, 2.

Grand Secrétaire du Suprême Conseil d’Italie, Très Illustre Vittore, mon Bien Aimé Frère,

Le Passé Souverain Gand Commandeur du Suprême Conseil (RESS/GODF) m’a invité en tant qu’auteur de rapports à dire quelques mots lors d’un colloque, ouvert à tous, organisé rue Cadet, le 19, sur les Débuts , le 18ème, et m’a informé de ta présence, avec un exposé sur le thème de l’Origine et les développements, en Italie.
Il m’a communiqué ton adresse directe, afin que ma sollicitation soit mieux reçue.

Pour un travail évidemment « profane », qui prend appui sur le personnage et l’œuvre de Giorgio Bassani, je cherche à entrer en contact avec des Francs-Maçons de Ferrare.
Récemment, je suis passé dans la ville. L’œuvre de Bassani, à plusieurs reprises, fait allusion aux Loges maçonniques, et plus précisément à « Un 33ème ».Mais- évidemment- je n’ai trouvé aucune trace visible des loges, dans la ville que je méconnais encore trop (à Paris, tu le sais, la façade du Grand Orient est spectaculaire, mais il arrive aussi assez souvent que « La Loge » soit indiquée en façade, dans les petites préfectures, surtout au sud de la France). Rien de tel à Ferrare. Pourtant je sais qu’au moins deux loges y ont initié des Frères.
Mon attention va surtout aux résistances levées contre l’Italie fasciste. Les traces d’un tel héroïsme sont assez nombreuses, et Giorgio Bassani en fut l’un des acteurs. En France, tes « Frères » ont également été chassés de toute fonction publique et certains ( les plus nombreux ) ont pris une part active à la Résistance, souvent au prix de leur vie. Je sais qu’il en a été de même en Italie.

Je sollicite donc un ou deux contacts à Ferrare. Mon intention est de travailler en toute discrétion. Mon projet est de retourner à Ferrare, pour avancer quant au « personnage Giorgio Bassani », et je serais heureux d’un échange en direct, qui resterait cela va de soi «  discret ». Patati patata…

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Dans la médiathèque, au cinquième, la salle de lecture ressemble à une salle d’écriture, et je participe cet après-midi à la frappe globale. Les tables sont nues, austères, peu accueillantes. Seul un espace proche de la bibliothécaire de permanence est doté d’ordinateurs en accès libre, mais dont les connexions restent bridées.

Les réponses de la communauté juive de Ferrare ou du  » Suprème Conseil  » des Loges d’Italie ne sont jamais arrivées, sauf l’habituelle ( prévisible en raison du prétendu «secret» de polichinelle) fin de non-recevoir du « Grand Maître » : « Je ne connais aucun nom de Frère à Ferrare et ne peux divulguer les adresses des Loges, s’il en existe».

Discrètement, j’ai apporté ma tasse rouge et noire de Ferrare café , mais (vous vous souvenez?)( mais il y a si longtemps que cette histoire commença), cette tasse, je l’ai payée – cher- en pourboire pour la serveuse, et Bassani détestait le café serré, donc je ne me prends toujours pas pour lui, en dépit de ce que prétend ce bon (?) guide NERO…

Médiathèque. Machine à café. J’emporte mon souvenir de bataille ORIENT/OCCIDENT, le maître du Temple et le sultan, Ben Laden contre Barack OBAMA , l’histoire interminée, mais on n’aspire pas au repos, vous connaissez la formule !

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Pause, Iphone. Pipi de bibli.

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Je vois que, sous la douche, ce matin, j’ai laissé passer un appel. 
En Italien très modulé, voix féminine :

« C’est au sujet du contrat, vous savez la maison à FERRARA, dit la voix fatiguée (ou bien est-ce l’orage de cette nuit, et ses dévastations diverses de la réalité ?) , donc au sujet du contrat, grazzie, on a bien tout reçu l’ensemble des documents, on a vu la date, au fait, sur les papiers, la copie du Bon anniversaire de Soixante-dix ans, Monsieur, et donc comme c’était toujours pas très clair dans votre mot d’accompagnement sur les noms qu’il faut mettre ou pas sur le contrat, donc vous me le dites lequel des deux on met, et je vous l’envoie ? »

Touche SMS, je ne voudrais pas déranger les tapoteurs, parmi lesquels n’a toujours pas réapparu la dame en blanc et pois noirs, j’espère qu’elle a survécu à la perte de sa mémoire.

Je textote :
« Merci pour les vœux et votre attention. Pour le contrat, ça ne gêne pas si c’est un patronyme juif ? »

Trois ou quatre minutes passent, j’ai fini le café. Rincé la tasse. J’attends, j’ai le temps d’attendre. C’est de mon âge.

Ou alors est-ce l’inverse, plus de temps à perdre? J’ai dû réfléchir à cela, sans doute, mais j’ai oublié cela aussi?..
J’essaie d’imaginer le visage dans l’agence immobilière de FERRARE, perplexe ? Révolté ? Agacé ? de l’interlocutrice.
BIP! Retour d’Italie, SMS : « ????? »

Deuxième texto retour d’Italie aussitôt, même expéditrice : «  Je ne sais pas comprendre où il serait une difficulté ? Sans doute un malentendu linguistique ? »
Ma réponse, immédiate (prétexter un mauvais usage de langue est toujours une solution pratique) :

TEXTO de FIN vers l’agence italienne ( longtemps je l’ai conservé ) :

« Bien entendu ! Quant au nom sur le contrat pour la maison, alors, le mieux, je crois, est de simplement mettre, pour le jardin, comme nom :

Giorgio Bassani…Si, Bassani, Giorgio, da Ferrara. »

FIN

  ...............................................                                                       

GLOSSAIRE

BASSANI : Ecrivain-scénariste et militant-homme politique italien mort en 2000 et ramené à la vie sous forme purement romanesque, vingt ans après.

SHORT : Petit objet en étoffe qui serait digne d’intérêt si tout cela n’était tout de même pas un peu court, jeune homme.

SILVIA : Personnage de roman habitant 33B rue Belfiori, Ferrare, ayant pour partenaire occasionnel un certain NERO (pas d’entrée en glossaire)

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Didier JOUAULT, pour la dernière fois de cette saison ( et y aura-t-il jamais une autre saison ,) : YDIT-suit : Le Jardin de Giorgio Bassani, épisode 99/99, Epilogue 4 / « Au Retour »- « C’est au sujet du contrat » et Glossaire.

RIEN à SUIVRE… ...FINI de FINI.

DIFFICILE…Et peut-être jamais une « saison » III du YDIT-BLOG ?

Par défaut

YDIT-suit : Le Jardin de Giorgio Bassani, épisode 98/99, Epilogue/3, la suite du commencement de la fin, « Au Retour »- Deux lettres à la mer.

Retour

Paris 2020, retour de FERRARE, escale à Bologne : Doliprane et Cafés : les tours sont joués, les dés sont jetés, la journée de retour à Paris sera banale, le rêve achevé.
Imaginons que je prenne le temps, long, trop long, de tenter une transcription – une réinvention pure et simple de ce rêve impur et complexe, le rêve d’Alice, déjà vieilli, après tout banale actualisation coquine du bon vieux Révérend Dogson au pays des merveilles ( je préfère ne pas entendre l’éclat de rire amical –mais désespéré, de Mark le compagnon des aventures anciennes, recevant le billet du matin, matinalement dressé…).

C’est la fin du récit, la dernière pierre, la plus immatérielle, pur extrait de faux-souvenir.


Paris dernier jour d’août. Dans la médiathèque, au cinquième, la salle de lecture ressemble à une salle d’écriture, et je participe cet après-midi à la frappe globale. Les tables sont nues, austères, peu accueillantes. Seul un espace proche de la bibliothécaire de permanence est doté d’ordinateurs en accès libre, mais dont les connexions restent bridées.

Aujourd’hui, pas de dame en noir et pois blancs ( vous vous souvenez, elle avait perdu le texte de son article 15000 signes ?) Une jeune femme découpe des photocopies, assemble un puzzle textes et images. « Dire qu’il y a un an je commençais ici à préparer mon concours, et maintenant je prépare mes cours. » Elle raconte à son amie, assise en face, à quel point ce métier lui plaît, combien elle aime ces petits écoliers.

Très rares sont les vieux de mon âge, et ce sont surtout des vieilles, dont une probable nonagénaire qui manipule assez convulsivement écran et clavier, sans doute enfermée dans son urgence personnelle, la dernière, à cet age.
Pour composer l’étonnant puzzle de mots nommé rapports, que sans doute personne n’attend plus, je relis, dans mon épais classeur titré « G.B./F. », des notes du passage à Ferrare, et les courriers que j’ai adressés aux principaux interlocuteurs capables d’ouvrir toutes ces portes qu’on tient fermées, au sujet du jardin de Giorgio Bassani.

Plus tard, seulement, lorsque le roman aurait été refusé par les éditeurs, puis remanié en web-feuilleton, j’avais écrit à Silvia ce que vous avez lu déjà dans deux chapitres précédents : l’étirement de l’étrange lien, cette poursuite de projecteur sur la scène vide, tout cela devait trouver sa place avant le retour à Paris en fin de voyage, du second voyage à FERRARE, brouillant ainsi, une fois de plus, les temps, les lieux, les mémoires- et vos lectures.

Ma collègue Cécile, vous la connaissez bien à présent, à qui je n’envoie pas la copie de mon courrier tapé en vitesse sur « Pages » de l’IPad, se permettrait peut-être, pour cette fois, une moue de remontrance affectueuse ?

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LETTRE à la MER, 1.

Monsieur le Président de la Communauté juive, Synagogue, 95 via Guiseppe Mazzini, 44110, FERRARE,


A la suite de visites à Ferrare, j’envisage un travail personnel, érudit mais dénué d’ambitions de carrière ( je suis retraité), sur la place de la communauté juive dans la ville, en particulier celle du célèbre écrivain Giorgio Bassani

Epris de votre ville, très sensibilisé à la présence juive si nette à Ferrare, je souhaiterais approfondir des points d’histoire, l’arrivée au XVe siècle, l’étonnante confiance des juifs à l’époque de MUSSOLINI, les persécutions après les lois raciales de 1938, la situation après-guerre, par exemple.
J’aimerais aussi, beaucoup, pouvoir visiter la synagogue. Sans doute vais-je de nouveau séjourner à Ferrare d’ici peu. Je sollicite de votre grande bienveillance une autorisation de visite, seul, ou en compagnie d’un gardien, et suis prêt à signer toutes les décharges utiles, compte-tenu de l’état des lieux consécutif au tremblement de terre. En ce sens, je sollicite de votre attention un ou des contacts avec des représentants de la communauté, ce qui me permettra … patati patata
Veuillez croire…………. 

Et cette autre : transcrite depuis l’enregistreur du Iphone.
Inutile d’écrire que Sergui, que vous avez apprécié, s’il en avait connaissance, m’enverrait un texto sardonique.

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LETTRE à la MER,

Grand Secrétaire du Suprême Conseil d’Italie, Très Illustre Vittore, mon Bien Aimé Frère.

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Le Passé Souverain Gand Commandeur du Suprême Conseil (RESS/GODF) m’a invité en tant qu’auteur de rapports à dire quelques mots lors d’un colloque, ouvert à tous, organisé rue Cadet, le 19, sur les Débuts , le 18ème, et m’a informé de ta présence, avec un exposé sur le thème de l’Origine et les développements, en Italie.
Il m’a communiqué ton adresse directe, afin que ma sollicitation soit mieux reçue.

Pour un travail évidemment « profane », qui prend appui sur le personnage et l’œuvre de Giorgio Bassani, je cherche à entrer en contact avec des Francs-Maçons de Ferrare.
Récemment, je suis passé dans la ville. L’œuvre de Bassani, à plusieurs reprises, fait allusion aux Loges maçonniques, et plus précisément à « Un 33ème ».Mais- évidemment- je n’ai trouvé aucune trace visible des loges, dans la ville que je méconnais encore trop (à Paris, tu le sais, la façade du Grand Orient est spectaculaire, mais il arrive aussi assez souvent que « La Loge » soit indiquée en façade, dans les petites préfectures, surtout au sud de la France). Rien de tel à Ferrare. Pourtant je sais qu’au moins deux loges y ont initié des Frères.
Mon attention va surtout aux résistances levées contre l’Italie fasciste. Les traces d’un tel héroïsme sont assez nombreuses, et Giorgio Bassani en fut l’un des acteurs. En France, tes « Frères » ont également été chassés de toute fonction publique et certains ( les plus nombreux ) ont pris une part active à la Résistance, souvent au prix de leur vie. Je sais qu’il en a été de même en Italie.

Je sollicite donc un ou deux contacts à Ferrare. Mon intention est de travailler en toute discrétion. Mon projet est de retourner à Ferrare, pour avancer quant au « personnage Giorgio Bassani », et je serais heureux d’un échange en direct, qui resterait cela va de soi «  discret ». Patati patata…

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LETTRES à la MER : réponses

Les réponses ne sont jamais arrivées, sauf l’habituelle ( prévisible en raison du prétendu « secret » de Polichinelle) fin de non-recevoir :  » Je ne connais aucun nom de frère à FERRARE et ne peux divulguer les adresses des loges, s’il en existe, ce que j’ignore ».

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didier Jouault pour : YDIT-suit : Le Jardin de Giorgio Bassani, épisode 98/99, Epilogue/3, la suite du commencement de la fin, « Au Retour »- Deux lettres à la mer.

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